On the 16th of April the Olympic torch was lit in Southern Greece. 10,000 athletes will carry the flame 3,100 miles to reach the French capital where, on the 26th of July, the games will begin.
Paris, however, has been gearing itself up for much longer. Hundreds of thousands of construction workers have been revamping the city to prepare it for the massive influx of professional sportspeople, punters, and the press. During my research, the only tickets available for the opening ceremony on the official website start at 1,600€. Tickets for the events can cost up to 2,700€. The Parisian mood regarding the games sceptical. “The only affordable tickets are for the first round of some obscure sport that nobody wants to watch,” I was told by a friend. He, like many Parisians, intends to be out of the capital when the games begin.
Just outside the capital is the Seine-Saint-Denis region, which hugs the north and east of the Paris city limits. It has received investment on a gargantuan scale; €42 billion has been put into building new metro tunnels, 200km of them, through which driverless trains are to whisk passengers both in and out of Paris, within the banlieues, and to the city’s two airports. Seine-Saint-Denis houses just shy of two million people, mostly living in tower blocks built in the 60s and 70s to house industrial workers from North Africa. The poverty rate is 28%, almost double that of the French capital. Investment of such a scale will no doubt benefit the region, making a commute into Paris possible and boosting employment and the local economy. In 2020, 72% of residents were renters in Saint-Denis. Investment will improve the local area, but the question is, for whom? Will this cash-injection allow families who’ve been living in Saint-Denis for generations to reach new levels of prosperity, or will it encourage an influx of commuters from elsewhere who now see the suburb as a route into Paris, thus expunging the families whose rent will undoubtedly rise because of the new transport links?
The games themselves and the investment surrounding them are clearly, from the point of view of many Parisians, not meant for them.
La flamme olympique se fait allumé le 16 avril dans le sud de la Grèce. 10 000 athlètes vont l’apporter 3 100 miles pour arriver à la capitale française où, le 26 juillet, les jeux vont commencer.
Paris, cependant, se prépare depuis beaucoup plus longtemps. Plusieurs centaines de milliers d’ouvriers de construction ont travaillé dans la ville pour la préparer pour l’afflux énorme des athlètes, fans, et la gens de la presse. Pendant ma recherche, j’ai pu que trouver billets pour la cérémonie d’ouverture pour 1 600 € au minimum. Les billets pour les évènements peuvent couter jusqu’à 2 700 €. Les parisiens sont plutôt sceptiques par rapport aux jeux. « Les billets qu’on puisse avoir sont pour les premières ronds des sports plutôt inconnus que personne veut voir ». Il, comme beaucoup des parisiennes, ne va pas être à Paris pendant les jeux.
Juste dehors de Paris il y a Seine-Saint-Denis, qui serre les côtés nord et est de la ville. L’investissement à Saint-Denis est énorme. 42 € milliards s’est fait affecté pour construire des tunnels de métro, qui vont avoir des trains sans chauffeur dedans. Il y aura 200 km de tunnels qui apportent les gens de les banlieues à Paris. Il y a deux millions de gens qui habitent à Seine-Saint-Denis, la plupart d’eux habitent dans les tours d’habitation construits dans les années 60 et 70 pour héberger les ouvriers industrieux du nord de l’Afrique. Le taux de pauvreté est à 28%, presque la double de la capitale française. Investissement de cette grandeur va sûrement bénéficier la région, rendant un trajet à Paris possible et augmentant l’emploi et l’économie locale. En 2020, 72% des résidents étaient locataires à Saint-Denis. L’investissement va améliorer la région, mais la question est, pour qui ? Est-ce que l’injection d’argent permettra aux familles qui ont habité Saint-Denis depuis des générations d’atteindre de nouveaux niveaux de prospérité, ou encouragera-t-elle un afflux de navetteurs d’ailleurs qui voient maintenant la banlieue comme une route vers Paris, expulsant les familles dont le loyer augmentera certainement à cause des nouveaux liens de transport ? Les jeux eux-mêmes et l’investissement qui les entoure sont, du point de vue de beaucoup de Parisiens, pas faits pour eux.