Cette semaine j’ai rentré à Paris après presque un mois de vacances ! En décembre je suis parti d’un Paris en lutte ; avec perturbation dans chaque coin de la vie et des milliers de gens dans la rue chaque weekend. Évidemment ce n’est pas fini, mais ce qui me frappe est comment la vie reprend son cours. Il y a plus de manifestations des gilets jaunes planifié, et il ne faut marche que cinq minutes dans la ville avant qu’on voir les marques d’une manifestation, le graffiti politique est griffonné partout (ex. la photo ci-joint prit au musée d’Orsay).
En plus que les problèmes domestiques il me semble que tout Paris s’inquiète de Brexit. Les parisiennes sont pour la plupart des européens fiers ; personne n’ignore les conséquences pénibles de Brexit, pour les anglais mais aussi pour les français. Les deux pays ont une grande histoire, et sans savoir des chiffres exacts je suis certain qu’un grand nombre de français et d’anglais profitent de la libre circulation européenne. Avec l’Eurostar c’est si facile d’habiter et travailler entre les deux métropoles, et ce n’est pas seulement les professionnels qui en profitent, les étudiants, comme moi, profitent des liens historiques entre les universités.
Même dans un temps de tel incertitude, la vie continue, et même si j’attends avec inquiétude plus de perturbation à Paris et l’avenir inconnu du Royaume-Uni en Europe, je me tourne vers les mois qui suivent, la ville et l’université que j’ai à découvrir encore.
ENGLISH:
This week I returned to Paris after nearly a month of holiday ! In December I left a protesting Paris, with disturbance to every part of life and thousands of people in the street every weekend. Obviously, it is not over, but I am struck by how normally life goes on. There are more Gilet Jaune protests planned, and you can walk only 5 minutes in the city before seeing the marks of a protest, political graffiti is scribbled everywhere (the attached photo, taken at Musée D’Orsay, translates as: Not by Macron, not by anyone, we do not want to be governed! Gilet Jaunes against the state).
As well as the domestic problems, it seems to me that the whole of Paris is worried about Brexit. Parisiennes are for the most part very proud to be European, no one is ignorant to the painful consequences of Brexit, for the English but also for the French. The two countries have a great history, and without knowing exact figures I’m certain that a large number of French and English people take advantage of the European free circulation. With the Eurostar, it is so easy to live and work between the two metropolis’ and it is not only professionals who benefit, students like me benefit from historical links between universities.
Even in such uncertain times, life goes on, and even though I wait anxiously for further disturbance in Paris, and the uncertain future of the UK in Europe, I look forward to the next few months, and the city and university which I have yet to discover.